CAMBODGE: Terres des 1.000 sourires - 13 jours sur place
Aspects équitables
 
Durant toute la durée du voyage au Cambodge, certaines activités ou certains repas seront réalisés dans un cadre équitable, la plupart du temps en collaboration avec des ONG présentes sur place. Le plus souvent, ces ONG travaillent en faveur des enfants défavorisés car il faut savoir que plus de 50% de la population cambodgienne à moins de 14 ans. En outre, suite aux dégâts causés par le régime de Polpot, le pays est en cruel manque d'enseignants, de médecins et d'autres personnes formées qui pourraient à leur tour former les jeunes. Le travail de ces ONG est donc plus qu'indispensable et mérite d'être soutenu.

Exemple d'activités équitables reprises dans le programme :
  • Repas dans des écoles hôtelières pour jeunes défavorisés créées par certaines ONG.
  • Spectacle de théâtre d'ombres donné par des enfants orphelins ou défavorisés soutenus par une ONG.
  • Visite d'une école d'Arts soutenue par une ONG.
  • Possibilités de visites et de soutiens à certaines ONG, notamment Handicap International (ONG belge) à Siem Reap.
  • Journée de découverte du Tonlé Sap organisée dans un cadre équitable, en collaboration avec les villageois.
  • Possibilité de massages donnés par des aveugles (victimes d'explosion de mines anti-personnelles) aidés et formés par une ONG.
  • Visite et activité avec une ONG qui travaille avec les enfants victimes de maux sociaux (trafic d'êtres humains, violence, pauvreté, ...)
  • Déplacement entre les cités d'Angkor en tuk-tuk. Le tuk-tuk est un moyen de déplacement économique qui procure du travail à beaucoup de Cambodgiens possédant peu de ressources.
  • Visites de villages hors des sentiers battus par le tourisme de masse. Il faut savoir que la majorité des touristes visitant le Cambodge n'y passent que quelques jours pour visiter le site archéologique d'Angkor Wat (la plupart du temps dans le cadre d'une extension de 2 ou 3 jours à partir de la Thaïlande ou du Viet Nam). En décidant d'y passer plus de temps et de visiter des zones moins fréquentées par le tourisme de masse, et donc en répartissant les dépenses, nous aiderons aussi ce pays à se relever.
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